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Lettre de l'APIC n°20 - Janvier 2023
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La Lettre de l'APIC
ASSOCIATION POUR LE PATRIMOINE INDUSTRIEL
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L'APIC sur tous les fronts
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Accueil du groupe au musée d'Art Moderne - Cliché Marco-Antonio Hernández Badillo
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Notre colloque "Patrimoine en tension, les paysages de l’industrie"
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Le colloque sur le "Patrimoine en tension : les paysages de l’industrie" organisé par l’APIC, s’est tenu les 14-15 et 16 octobre dernier. Moitié en ligne, moitié en présentiel, il a vu se succéder de passionnantes contributions que nous réunissons en ce moment en vue d’une rapide publication.
Il faut remercier la municipalité de Troyes et son accueil magnifique, pour lequel Éric Blanchegorge, directeur des musées de Troyes et Dominique Fiorano, son adjointe, se sont dépensés sans compter. Les travaux ont eu pour cadre l’auditorium du Musée d’Art Moderne, tout juste refait, et aux nombreux présents se sont joints des étudiants en patrimoine de la Faculté voisine.
Les deux journées ont été complétées par des visites de patrimoine industriel, dont celle de Fontaine-les-Grès, conduite par l’association des anciens de DD. Sur notre page web, on peut retrouver le programme détaillé de ces intenses journées.
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Le public attentif dans l'auditorium du musée d'Art Moderne - Cliché Michel Ravier
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Fête de la science 2022 : belle fréquentation sur le stand de l’APIC !
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Pour le thème de cette année Le climat : on en parle ? nous avons réalisé un jeu mettant en relation le climat et les besoins énergétiques de l’industrie à travers les deux derniers siècles.
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Fête de la science 2022
Clichés APIC
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Des groupes-classes sont passés sur notre stand le vendredi. Le samedi, jour d’ouverture au public, ce sont des familles qui ont profité de cette journée d’automne pour visiter les stands du Village des sciences installé au campus santé de l’Université de Reims.
Au total ce sont plus de 100 jeunes et adultes qui sont venus s’exercer sur nos jeux ou découvrir les activités de notre association.
Des journées encourageantes pour la connaissance scientifique et historique.
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La cuisine des Desban au Chemin Vert
Collection particulière
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L’APIC a répondu à une proposition de partenariat formulée par Noémie Coibion, ancienne responsable de la Fondation du Patrimoine, qui souhaite organiser des rencontres mensuelles de deux heures environ autour d’un sujet patrimonial, dans sa boutique-café l’Arche à l’eau située non loin de l’hôtel de ville de Reims.
Sur le modèle des cafés géographie et autres cafés philo, l’intervenant prépare une communication puis répond aux questions du public et échange avec lui.
Premier thème abordé par Carole Correaux, le 15 décembre dernier : la cité-jardin du Chemin Vert à Reims.
En projet : deux interventions concernant les Docks rémois et les Verreries mécaniques champenoises (VMC).
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<<< Vous pouvez agrandir les illustrations en cliquant dessus >>>
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Une nouvelle programmation des mercredis du patrimoine est en ligne avec en janvier l’art du vitrail des ateliers Simon-Marq à Reims, en avril le toujours exceptionnel musée de la métallurgie ardennaise à Bogny-sur-Meuse et en mai le nouveau musée de la machine à coudre à Châlons-en-Champagne rouvert depuis quelques mois.
Pour réserver : Voir sur le site
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© Ateliers Simon-Marq
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Émile FERRY, maître de forges, et industriel dans la Guerre de 14-18
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Portrait d'Émile Ferry
Collection privée
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Philippe Delorme enrichit notre site avec le texte de l’intervention qu’il a donnée à l’occasion de la visite de la maison de "maître de forges" retenue en tant que telle en 2021 par la Fondation Stéphane Bern.
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Il y développe la carrière d’Émile FERRY - des fameuses Aciéries de Micheville - qui épousa en 1888 une demoiselle CAPITAIN, issue de la famille d'un "Napoléon des forges" et qui résida dans ce petit château.
Le dossier met l'accent sur son rôle dans la mobilisation industrielle lancée le 23 décembre 1916 par Louis Loucheur, notamment avec les deux phases de modernisation et d'agrandissement de Marnaval, la première en 1916, dans le cadre de Micheville (qui avait perdu toutes ses usines du nord de la Lorraine lors de l'invasion allemande de l'été 1914), Marnaval servant en quelque sorte de base de repli, la seconde, de 1917 à 1919, dans le cadre du Comité des Forges et sous l'adroite impulsion de Louis Loucheur.
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Les tapisseries d’Aubusson
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Patrice Gielen prépare un dossier qui intégrera notre rubrique Art et industrie. Petite mise en bouche…
La Cité internationale de la Tapisserie d’Aubusson a ouvert ses portes en 2016. Elle intègre le Musée départemental de la tapisserie d’Aubusson crée en 1982 qui présente l’histoire et les collections des tapisseries d’Aubusson et de Felletin à l’initiative du Conseil départemental de la Creuse (Région Nouvelle Aquitaine). Un centre de formation aux métiers de la tapisserie et une plateforme de création et d’innovation (pépinières d’entreprises Art/textile) y sont rattachés.
Ce savoir-faire de la tapisserie d’Aubusson a été inscrit au patrimoine culturel immatériel de l’Humanité par l’UNESCO en 2009 pour la valorisation, la diffusion et l’innovation de ce grand patrimoine.
Rappelons pour mémoire que le tapissier exécute à la main des tapis sur métier (manuel ou mécanique) qui représentent des motifs d’ornements, à distinguer donc de la broderie exécutée aux points d’aiguille sur canevas avec motifs.
À Aubusson la fabrication de la tapisserie est de basse lice c’est-à-dire que le métier (deux fils entrelacés de la chaîne et de la trame) est placé sur un plan proche de l’horizontale contrairement à celle de haute lice où le métier est placé verticalement.
Le tapissier porte le nom de licier ou lissier.
Trois personnes se succèdent dans la conception et la réalisation de la tapisserie : le peintre-maquettiste qui crée la composition, le cartonnier qui agrandit la maquette pour l’exécution et le licier qui réalise la tapisserie.
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Vitrail du métier à tapisser
Cliché APIC
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Mille fleurs à la Licorne
Cliché APIC
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Princesse Mononoké
Cliché APIC
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Au musée l’exposition couvre 1200 m2. Les tapisseries sont des réalisations textiles d’ameublement et se classent dans les arts décoratifs.
Les motifs décoratifs sont très variés selon les siècles de fabrication, des origines (XVe siècle) à nos jours : verdures à feuilles de choux (XVIe) tapisseries de scène de chasse (XVIIe), manufacture royale sous Colbert (1665), tapisseries fines pour un commerce international (XVIIIe), grandes et nouvelles manufactures (XIXe), École nationale d’Aubusson (XXe), période Jean Lurçat, période d’abstraction, actuellement tentures narratives de J.R.R. Tolkien et de l’imaginaire de Hayao Miyazaki, maître de l’animation japonaise…
Un grand patrimoine artistique à visiter à la
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Un colloque de patrimoine industriel franco-japonais à Tokyo !
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L'Université commence à s'intéresser au patrimoine industriel en tant que tel, avec ce colloque original, où notre ami Simon Edelblutte, de Nancy, doit intervenir.
Jusqu'à présent, nous avions eu des contacts avec Tomioka, la manufacture de soie inscrite sur la liste du Patrimoine mondial. Nous avions accueilli à ce sujet une délégation qui avait participé au colloque de Sedan en 2007, consacré au patrimoine textile.
Le programme du colloque qui s’est tenu en novembre 2022 montre une ouverture totale sur le patrimoine français et japonais. Des travaux qui, nous l'espérons, seront bientôt accessibles à travers la publication des actes.
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Colloque "Brasseries au temps de l’Art Déco"
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Dans un précédent numéro de notre Lettre nous avons annoncé ce colloque qui se tiendra les 30, 31 mars et 1er avril 2023 à Saint-Nicolas-de-Port avec une intervention de notre présidente.
Quatre parties au programme :
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• La Lorraine terre de brasseries
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• Le patrimoine brassicole des années trente dans le Grand Est
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• Les brasseries et l’architecture au temps de l’art déco
• L’art et la bière : décor et publicité
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Actualité du patrimoine industriel
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Friches industrielles emblématiques dans les Ardennes
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René Colinet, notre spécialiste du patrimoine de la métallurgie ardennaise, nous propose un rapide état des lieux à propos du devenir de friches industrielles emblématiques dans les Ardennes.
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Comme le prouvent les faits et les articles parus dans la presse (L'Ardennais, en décembre dernier) et en ces premiers jours de janvier, le bilan est contrasté. D'une part, il y a des situations bloquées : la rotonde de Mohon et l'usine Deville à Charleville-Mézières, la graineterie Biette à Carignan ; d'autre part des situations qui sortent de l'immobilisme, comme l'usine Cellatex à Givet qui va accueillir une centrale photovoltaïque, la friche Porcher à Revin où doit s'implanter une usine (Cibox) et l'usine Thomé-Génot à Nouzonville qui vient d'être acquise par la Région Grand Est.
Hormis la requalification du grand atelier Porcher, les autres opérations consistent à détruire les bâtiments. Du passé industriel, faisons table rase !
Malheureusement, comme l'ont montré à Nouzonville la destruction des bâtiments de la célèbre fabrique d'armes et la disparition de l'aciérie Thomé-Cromback, la sauvegarde du patrimoine industriel ne va pas de soi !
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La réhabilitation de l'usine Clément-Bayard dite La Macérienne à Charleville-Mézières apparaît comme une exception.
Avec les friches Deville et La Manestamp, Charleville-Mézières apparaît comme une sorte de laboratoire du patrimoine industriel.
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La graineterie Biette à Carignan © Région Grand Est - Inventaire général / Jacques Philippot
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Ateliers Thomé-Génot à Nouzonville © Région Grand Est - Inventaire général / Maya Bennani
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Dans notre Lettre n°18, un article annonçait la reconstruction de la scierie de la Hallière (Vosges) que notre association avait visitée et qui a été détruite dans un incendie en 2021.
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Marie-José Baliviera et Claudie Hermant qui suivent le dossier de près, nous informent de l’activité de l’association Les amis de la Hallière, qui publie son bulletin de janvier. Sur sa page Facebook la carte de vœux présente une image d’anticipation et espérée de la Hallière telle qu’elle pourra être reconstruite (image ci-contre).
Actuellement l’association œuvre à la réalisation d’un sentier de découverte sur le site de la Hallière et guide la remise en état du haut-fer de la scierie communale de la Croix-aux-Mines qui remplacera celui détruit par l’incendie.
Nous leur souhaitons la réussite entière de ce projet.
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Retour sur une exposition
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Une exposition a eu lieu à Sézanne sur l'Impasse Ronsin de Paris. Dans les années 30 du XXe siècle, ce fut un village d'artistes, dont est issue Annaëlle Topenot, la peintre de Sézanne, dont l'œuvre est un chant passionné à l'industrie et aux machines. L'exposition a été organisée par son fils, Christophe Emmanuel Del Debbio, qui nous a ouvert généreusement ses archives.
L’impasse Ronsin est située dans le XVe arrondissement de Paris, à la hauteur du 150 rue de Vaugirard…
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Del Debbio et élèves devant les ateliers 11 impasse-Ronsin en 1970 - Collection particulière
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Rochefort et son riche patrimoine (suite)
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© Musée des commerces d’autrefois
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Dans le numéro précédent nous présentions une escapade à Rochefort (Charente maritime). Noëlle Manzoni nous parle aujourd’hui d’une découverte qui vaut la visite...
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Dans cette ville de l'Arsenal des mers au patrimoine urbain bénéficiant d'une richesse historique et architecturale exceptionnelle évoquant la marine et les armateurs, les musées et visites se juxtaposent : le musée de la marine, la Corderie royale, l'école de médecine navale, L'Hermione…
Le musée des commerces d'autrefois est alors une découverte patrimoniale inattendue, un voyage dans le temps à l'époque des boutiques et petits métiers des années 1900.
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Le nouveau musée de la BNF
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Installé au sein d’espaces classés figurant parmi les plus somptueux du site Richelieu, le nouveau musée de la BnF embrasse toute l’étendue des fonds de la Bibliothèque, de l’Antiquité à nos jours, et dévoile de nombreuses œuvres exceptionnelles.
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Vous pouvez y admirer près de 900 pièces puisées dans les collections : objets archéologiques, médailles, ainsi qu’une sélection de manuscrits, estampes, dessins, cartes géographiques, globes, partitions musicales, livres rares et costumes.
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Le musée de la BnF / galerie Mazarin
© Guillaume Murat / BnF
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Expositions sur la mode à Paris
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Sont au programme actuellement plusieurs expositions sur la mode, et donc le textile, produit fini d'une grande industrie que l'APIC a particulièrement étudiée.
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• Sur les routes de Samarcande. Merveilles de soie et d'or
Institut du monde arabe
du 23 novembre 2022 au 4 juin 2023
• Kimono
Musée du Quai Branly
du 22 novembre 2022 au 28 mai 2023
• Les ors d'Yves Saint-Laurent
Musée Yves Saint Laurent
du 14 octobre 2022 au 14 mai 2023
• Les années 80. À travers la mode, le design, le graphisme
Musée des Arts décoratifs
du 13 octobre 2022 au 16 avril 2023
• Frida Kahlo. Au-delà des apparences
Musée Galliera
du 15 septembre 2022 au 5 mars 2023
• Shocking ! Les mondes surréalistes d'Elsa Schiaparelli
Musée des Arts décoratifs
du 6 juillet 2022 au 22 janvier 2023
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À lire, à voir, à suivre...
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Histoire-et-memoire51.fr est un site internet qui renaît aujourd’hui sur un nouvel espace dédié, animé par Jean-Pierre et Jocelyne HUSSON. Nos amis historiens mettent à jour et complètent cette remarquable publication numérique consacrée à leurs travaux de recherche sur l’histoire et la mémoire des deux guerres mondiales.
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Parmi les nouvelles actualisations, ils nous signalent :
• Les trois monuments à l’Armée noire de Reims 1924, 1963, 2013-2018, actualisation en 2022 de la contribution de Jean-Pierre Husson au colloque de l’APIC Guerre et Paix en Champagne et ailleurs, 1914-2014, quels patrimoines ?, à l'Atelier Canopé de Reims le 6 mai 2014.
• Autour du thème du concours national de la Résistance et de la Déportation L'école et la résistance : des jours sombres au lendemain de la libération (1940-1945), un document : 23 novembre 1940, saisie d’un tract à la Bibliothèque Carnegie de Reims et le dossier Les Enseignants marnais dans la Résistance.
• À propos de la sortie chez Fayard de l’ouvrage Le Procès Bousquet. Haute Cour de justice 21-23 juin 1949, préfacé par Robert Badinter, une mise à jour du dossier René Bousquet, la Marne et les Marnais
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Revue Des usines et des hommes n°12
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Le numéro annuel de la revue Des usines et des hommes, de l’association Patrimoine industriel de Wallonie, dont nous sommes adhérents, est consacré cette année à "La photographie au service du patrimoine industriel". Extrêmement intéressant dans son contenu, il présente en outre des photos d’une qualité extraordinaire, qui nous renseignent du point de vue technique mais aussi humain. Au-delà, certains de ces témoignages atteignent les sphères de la poésie et du dépassement de soi. Un numéro à savourer.
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Images du travail - travail des Images
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La revue en ligne Images du travail - travail des Images a publié un numéro très intéressant sur les apparences au travail. Toute une étude sur le vêtement de travail et au travail, que vous pourrez feuilleter en ligne.
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La charcutière de Pomponne
de Pierre GUY
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L'auteur réalise ici un récit de fiction qui s'appuie sur des faits historiques et un travail de recherche minutieux. Il réalise une véritable autopsie de la plus grande catastrophe ferroviaire civile française.
La Charcutière de Pomponne raconte comment la vie de tous ces voyageurs et de toute une région a littéralement explosé en ce soir glacial et brumeux du 23 décembre 1933.
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Revue Fontes n°127 de décembre 2022
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L’APIC avait pu constater, lors de quelques-uns de ses plus beaux voyages en Argentine et au Chili, combien la fonte haut-marnaise était présente dans les lieux officiels, places, jardins, entrées de monuments, etc. La dernière livraison de la revue Fontes que publie l’ASPM, concerne les fontes de ville de Cordoba, en Argentine, un véritable feu d’artifice autour de la Place Colon. C’est une belle invitation au voyage.
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Les Ardennes du Père Peinard
de Dominique PETIT
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"Ce qui est publié dans ce livre présente un aspect peu connu de l’histoire ardennaise, celle de ces ouvriers parlant d’eux-mêmes, de leurs conditions de travail, de leur vie, de leurs déceptions mais aussi de leur rêve : celui du "Grand soir" qui mettra fin à tout ce qui les opprime" (D. PETIT).
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Conférence illustrée : Montmirail et les Chemins de fer
Donnée par Pierre GUY
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Notre ami Pierre GUY, qui nous a confié le dossier Les ateliers ferroviaires d’Épernay en ligne sur notre site, donne une conférence : Montmirail et les Chemins de fer.
Conférence organisée vendredi 3 février à 20h30 par l’association Espace Loisir Culture, salle Barbara à Montmirail.
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Tarif adhésion 2023 : 20 euros pour une personne, 30 euros pour un couple.
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Ont contribué à la rédaction de cette Lettre : Noëlle Manzoni, Maryse Baudson, Patrice Gielen, Philippe Delorme, René Colinet, Denis Capovilla, Gracia Dorel-Ferré.
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