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Lettre de l'APIC n°17 - Février 2022
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La Lettre de l'APIC
ASSOCIATION POUR LE PATRIMOINE INDUSTRIEL
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Hommage à Pierre Trimouille
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L’historien Pierre Trimouille nous a quittés le 25 décembre 2021, dans sa 95e année, tout en conservant, jusqu’au dernier moment, sa vivacité d’esprit. Nous nous associons, de tout cœur, au chagrin de la famille.
S’il a été un véritable ami pour notre présidente, toujours disponible, toujours généreux, il reste, pour la communauté des historiens, celui qui a écrit un ouvrage irremplaçable, à bien des titres, sur l’usine chrétienne du Val-des-Bois. En effet, il a pu disposer, au moment de ses recherches, d’une somme d’archives aujourd’hui en grande partie disparues. Son ouvrage est donc plus qu’un livre d’histoire, il est aussi un témoignage en lui-même. Il nous avait donné amicalement l’autorisation de numériser son livre publié à partir de sa thèse, ce que nous avons fait. Par son œuvre, Pierre Trimouille continue à vivre parmi nous.
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Intervention du professeur Trimouille au colloque « Le patrimoine industriel dans tous ses états » au musée de l’Ardenne à Charleville-Mézières – Cliché APIC
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L'APIC sur tous les fronts
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Salon Destination Marne
L'APIC participera au Salon Destination Marne de Châlons-en-Champagne le samedi 12 mars et pourra présenter ses activités par des flyers, un montage vidéo et un bilan de ses activités.
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Parmi les dossiers réalisés
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Concours À nous le patrimoine !
Noëlle Manzoni a participé pour l'APIC au jury du concours organisé par la Fondation du patrimoine Champagne-Ardenne, qui se tenait pour la 2ème année le 7 juin 2021 en visioconférence animée par Mme Valentine Roland, chargée de mission patrimoine Aube et Haute-Marne.
Étaient présents M. Pierre Posseme, délégué régional de la fondation, les délégués départementaux de chaque département et des représentants des services de mission éducative des Conseils départementaux.
Les 4 dossiers retenus sur les 18 présentés étaient tous conformes aux critères retenus : grande qualité, créativité, utilité, valorisation. Par exemple, l'un autour d'un jeu des 7 familles du champagne d'une école d'Épernay ou l'autre selon sa présentation animée des vestiges des baraques de la guerre à Cormicy. L'ensemble du jury a pu se mettre aisément d'accord pour les départager.
L'APIC a particulièrement remarqué pour son aspect pédagogique le dossier sur les Galeries rémoises qui ont déjà fait l'objet de nos publications. Nous avons mis en ligne une partie de ces travaux sur notre site dans la rubrique “Transmettre” "le patrimoine industriel à l'école".
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<<< Vous pouvez agrandir plusieurs des illustrations en cliquant dessus >>>
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L’APIC est partenaire du comité scientifique de deux manifestations importantes, au Mexique en février 2022 et dans le Grand Est pour mars 2023
Le Ve séminaire de patrimoine industriel mexicain porte sur le patrimoine ferroviaire et se tient dans la ville d’Aguascalientes, dont l’emprise ferroviaire est spectaculaire.
Halte principale sur la ligne de chemin de fer qui va de la frontière nord-américaine au port de Vera Cruz, elle a été délaissée du fait des changements techniques qui ne nécessitaient plus des installations industrielles aussi importantes. Une reconversion récente a su ménager la dimension historique, avec l’ancienne gare devenue musée, les espaces de loisirs, avec le parc des Trois siècles, et les espaces culturels (immense salle de conférences, école de musique). La photo aérienne montre à quel point il était nécessaire de faire quelque chose de la friche ferroviaire qui coupait la ville en deux. L’APIC est partenaire de longue date avec TICCIH Mexico et cette fois notre présidente parlera des transferts technologiques et de la formation d’une nouvelle catégorie socio-professionnelle, devenue rapidement une élite au sein des ouvriers et des employés, les cheminots.
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Aguascalientes, l’emprise ferroviaire vue aérienne – Licence commons Cc-by-1.0
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Plus près de nous, une association s’est formée autour d’une brasserie nancéenne, surtout célèbre pour son architecture Art Déco, que vous pourrez apprécier sur le site de l’APIC. Les responsables ont fait appel à nous pour donner une dimension régionale. Nous pourrons évoquer les brasseries ardennaises, étudiées par Terres Ardennaises, la brasserie du Fort Carré de Saint Dizier devenue usine Miko puis Cinéquai, qui a gardé sa tour Art Déco, et surtout parler de la Comète, cette immense brasserie juchée sur les caves Jacquesson, et devenue aujourd’hui une friche lamentable.
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Brasserie St-Nicolas-de-Port - Salle des machines
© Musée Français de la Brasserie
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Après deux saisons bien tourmentées pour nos visites, le programme de ce semestre s’intéresse particulièrement aux chemins de fer, avec en avril la découverte des ateliers ferroviaires d’Épernay et en mai le viaduc de Chaumont.
Voir l'agenda sur le site
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Viaduc de Chaumont - Cliché R. Pelletier - © Office de tourisme du Pays du Pays de Chaumont en Champagne
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Le musée de la machine à coudre va-t-il renaître de ses cendres ?
La machine à coudre, c’est un pan entier de l’histoire de Châlons. Au 15-17, place Godart, il y avait, depuis 1957, une boutique de vente et réparation de machines à coudre à l’enseigne Maccor. Son fondateur, Lucien Cordier, a ensuite créé au 13 place des Buttes, le musée de la machine à coudre qui a fermé à son décès.
Dix ans après, le musée va-t-il renaître de ses cendres ?
Tout dépendra du résultat de l’appel à bénévoles car malheureusement pour le moment, aucun soutien public n’est prévu. Espérons que cet héritage ne deviendra pas le second site châlonnais délaissé par les responsables du patrimoine.
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La collection du musée - © L’Hebdo du vendredi
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Rénovation du puits Saint-Quentin à Rimogne
Grâce aux premiers fonds récoltés avec la mission Bern et la Fondation du Patrimoine, les travaux de remise en état du chevalement vont pouvoir commencer.
Dès 2022, après l’installation d’un échafaudage de 25 mètres, la réparation de la toiture en ardoise et des fenêtres sera engagée.
La commune de Rimogne pourra être fière de la réussite de ce projet de conservation de la mémoire ardoisière ardennaise.
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Le chevalement du puits Saint-Quentin à Rimogne – Cliché Denis CAPOVILLA
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Disparition programmée avec le réaménagement du port Colbert
Chambron et Cie installent avenue Brébant une usine de charpentes métalliques vers 1935. La cessation d'activité intervient une quarantaine d'années plus tard. La salle des machines et la chaufferie sont ensuite occupées par le garage Beccue S.A.S, atelier du poids lourd.
C’est cette cheminée et le petit bâtiment attenant qui sont connus de tous les Rémois et autres automobilistes passant le long du canal.
Dans le grand projet Port Colbert tout l’espace le long du canal va être redessiné pour laisser la place à l’installation de l’École Supérieure d’Art et Design (ESAD), de Neoma Business School et Quartier Libre, le tout complété par des logements. Les espaces piétons seront privilégiés et donc pour l’instant la cheminée et le bâtiment du garage Beccue sont destinés à la démolition.
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L’ancien « garage Beccue » - Cliché Chantal RAVIER
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Est-ce que Reims au passé industriel si riche doit rejoindre le peloton des villes communément nombreuses qui effacent leur patrimoine pour ces nouveaux quartiers à l'architecture normée, sans âme, de béton de verre et d'acier ?
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Des interviews à réécouter…
Chantal RAVIER, invitée sur la radio rémoise RCF, a donné deux interviews pour définir le patrimoine industriel et préciser le rôle de notre association. Elle a aussi expliqué les enjeux et l’intérêt de protection et de mémoire d’un patrimoine industriel à travers le projet d’urbanisation du port Colbert à Reims.
Ses interventions sont à retrouver en replay sur le site internet de la radio.
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Le voyage de l'APIC en Bulgarie
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Monastère de Rila - Cliché Gracia DOREL-FERRÉ
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Nouveaux dossiers sur notre site
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Les ateliers ferroviaires d’Épernay
Pierre GUY, auteur, spécialiste de la ville d’Épernay, nous a confié ce superbe dossier sur tout un pan de l'histoire de la ville.
Le site industriel et les bâtiments qui constituent l’ex-Atelier du Chemin de fer d’Épernay ont une superficie de 13 hectares environ, dont 4 sont couverts. D’un caractère provisoire à leur origine, ils ont été positionnés et érigés entre la ligne de chemin de fer Paris-Strasbourg et la Marne.
À l’arrivée du train à Épernay (été 1849), la Compagnie érige une installation fixe : la première rotonde où s’effectuent les travaux simples sur locomotives et tenders de la partie de ligne en service et deux remises légères destinées à effectuer des réparations et remplacement de pièces sur le matériel remorqué. Très vite, l’établissement va croître sensiblement, dès que la décision sera prise de transformer le provisoire en définitif...
Consulter le dossier sur notre site
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Sortie des ouvriers
© collection Pierre Guy
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VMC, une verrerie du XXe siècle
Dans la Lettre n°12, avec le titre évocateur Les adieux de VMC à Reims, nous présentions la magnifique exposition réalisée par Chantal RAVIER sur cette verrerie emblématique de la région. Aujourd'hui c'est tout un dossier illustré que notre auteure a composé, qui est accessible intégralement en ligne sur notre site.
Voir le dossier
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Ventilation lors de la coulée
Cliché Yannick Dupont (VMC)
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Usine Morozov de Moscou reconvertie – Cliché APIC
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Les Morozov, des industriels grands collectionneurs
La fondation Vuitton présentait jusqu’au 22 février une exposition magnifique à partir de la collection de tableaux réunie par les frères Morozov, des industriels russes, qui avaient créé un véritable empire textile. Originaires de Tver, où ils ont commencé leur irrésistible ascension, ils étaient d’extraction serve et Vieux-Croyants. À la fin du XIXe siècle, ils mènent grand train, avec hôtel particulier à Moscou comme à Paris.
Leur personnalité et leur trajectoire intéressent le patrimoine industriel. En effet, à Tver, ils fondent un habitat ouvrier d’un genre nouveau : un palais ouvrier, une vraie ville dans la ville pourvue d’une infinité de services.
Voir sur wikipedia la page du complexe Proletarka.
À Moscou, l’ensemble des usines a été récemment reconverti en bureaux, appartements et lieux de loisirs. Sa taille donne une idée de ce que représentait cette famille pour les moscovites. L’ensemble fait face à la maison de Tolstoï.
Voir ces pages wikipedia pour en savoir plus sur les frères Mikhaïl et Ivan Morozov.
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Les vitraux Majorelle, ancien site des Aciéries de Longwy, à Longlaville (Meurthe-et-Moselle)
Un pan d’histoire, un témoignage exceptionnel de l’époque qui a fait la grandeur de Longwy, celle des mines et des usines sidérurgiques aux XIXe-XXe siècles.
Vingt-sept verrières à découvrir sur le site des anciennes Aciéries de Longwy à Longlaville. Elles retracent les grandes étapes de la fabrication de la fonte et de l’acier. Élaborées par les ateliers de Louis Majorelle (1859-1926), ébéniste ferronnier nancéien, elles furent posées en 1928 dans les Grands bureaux du Siège social des Aciéries, deux ans après sa mort.
Ces verrières disposées sur les quatre paliers de l’escalier monumental des Grands bureaux exposent, telle une bande dessinée, l’arrivée des minerais, le traitement de la fonte dans les hauts fourneaux et de l’acier jusqu’à son passage dans les laminoirs.
Ces vitraux Majorelle, de style Art Déco, associent, avec une palette de couleurs éclatantes, dans un mélange de réalisme et d’idéalisation, les grandes étapes de "l’homme du fer au travail".
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Verrière Aciéries de Longwy, Longlaville, montrant une coulée de métal en fusion – Cliché Patrice GIELEN
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Classés aux Monuments historiques en 1988, ils sont un très beau témoignage de l’union entre Histoire et Art.
Informations, visite, contact à l’Office de tourisme du Pays de Longwy.
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© Maison du verre et du cristal
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Maison du verre et du cristal de Meisenthal en Moselle
La verrerie de Meisenthal, née en 1704, cesse son activité en 1969 trahie par la réalité économique et le marché du verre usuel.
Dès la fin des années 70, la passion et l’engagement d’hommes et de femmes, élu(e)s, salarié(e)s et bénévoles permettent de conjurer le sort malgré le démantèlement de l’outil de production qui a laissé une friche d’un hectare sans valeur marchande.
C'est en 1996, suite à de nombreux événements de préfiguration, démarrés dès 1989 avec le premier festival “Rock à l’Usine”, qu'est créé le CADHAME (Collectif Artistique de la Halle de Meisenthal). Cette association a pour ambition de réhabiliter et animer la Halle Verrière, espace originellement dédié au travail des souffleurs de verre.
Aujourd’hui le Site Verrier est géré par la Communauté de Communes du Pays de Bitche et animé par le Musée du Verre, le CIAV et la Halle Verrière, qui emploient 25 personnes, fédèrent une centaine de bénévoles et ont maintes fois prouvé leur capacité d’audience.
Lien vers le site internet
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Un documentaire sur la condition de travail des mineurs
Marion Fontaine, directrice des Cahiers Jaurès, Professeure d'histoire à Sciences Po – CHSP, nous signale la sortie du documentaire télévisé "La grande tueuse", qu'elle a co-écrit avec Richard Berthollet.
Ce documentaire est consacré à la mobilisation des mineurs au XXe siècle, face aux poussières et en général aux risques sanitaires auxquels ils ont été exposés.
Lire l’article sur le site du journal Le Monde.
Le documentaire est désormais librement accessible en replay sur le site de France télévision.
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Image extraite du film « La grande tueuse »
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Enfin le cinéma !
L’APIC a noté le catalogue de l’exposition Enfin le cinéma, un document exceptionnel sur ce qui allait devenir une industrie culturelle révolutionnaire. Rappelons la très intéressante intervention de Jacques Lambert sur les salles de cinéma dans les Ardennes, publiée dans notre dernier ouvrage Le patrimoine dans tous ses états.
Dans le catalogue de l’exposition, on souligne comment les modes de déplacement, par exemple sur l’impériale des omnibus, ont préparé la vision de chacun au panoramique puis au travelling. De même, les immeubles et les fenêtres ouvertes induisent le cadrage et parfois même le regard indiscret.
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Illustration de la couverture
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La ville du XIXe siècle, qui est tout mouvement, a ainsi préparé implicitement les mentalités à recevoir ce nouveau mode d’expression, aussitôt adopté.
Le catalogue, une vraie mine de réflexions et de découvertes, est en ligne ici.
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Fontes n°123 de décembre 2021
Ce numéro remémore les 30 ans de travaux de l’Association de Sauvegarde du Patrimoine Métallurgique haut-marnais.
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Regards sur notre patrimoine n°48 de décembre 2021
Pour une invitation à de nouvelles découvertes sur notre histoire régionale.
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La newsletter de Blegny-Mine
Dans le numéro 49 de janvier 2022, l'équipe de Blegny-Mine nous présente ses vœux et le programme de cette nouvelle année. Au menu : des expositions, du cyclisme, des publications, les 10 ans de la reconnaissance Unesco pour les sites miniers majeurs de Wallonie et bien d'autres surprises. Le site Unesco de la ville de Banská Štiavnica en Slovaquie est également mis à l'honneur.
Voir la newsletter en ligne.
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